mercredi 18 avril 2012

Boulet

Parce que c'est rigolo, que je vais prendre l'avion dans un mois (et que ça fait quinze ans que l'ai pas fait), parce que c'est une expérience (qui sert un peu à rien mais qui nous explique des trucs) du "PROFESSEUR BOULET", mon blog-dessinateur prèf, aller lire et ragarder son expérience "d'impesenteur" décrite ici (Mon papou, c'est surtout à toi que je pense) :



OU (22 SECONDES)


les nouveaux territoires

les Buttes Chaumont en (nouvelle) voisine, après la pluie... (d'où le ciel)
parce que cette après midi est lonnnnnnnnngue, lonnnnnnnnngue, inter(minable)...
et sinon, un monsieur dans le parc m'a dit que j'allais vivre longtemps, (lonnnnnnnngtemps !)

Sinon,
J'ai retrouvé mon matos à couture, alors promis la semaine prochaine j'essaye de bidouiller un truc, (juré)

Une souris verte...

L'expo du mois dernier, rencontre avec les planches originales du prix Pultizer (le premier et seul roman graphique à avoir reçu ce prix), je n'ai pas pu prendre en photos les planches de Mauss, mais quelques images des "autres" périodes d'Art Spigelman") :

la vue du mois dernier

un peu de hauteur pour une capitale ensoleillée :
(bah oui, j'ai dit que c'était du mois dernier, évidemment depuis qu'on est à nouveau "au mois de novembre" il fait moins beau...

b*rdel, qu'est ce que j'aime ma ville

"la" soirée du mois dernier

en dorure et paillettes, qui étaient les plus belles ?

lundi 9 avril 2012

changement de décor...

...mes illusions donnent sur la cour


Mes illusions donnent sur la cour
Des horizons j'en ai pas lourd
Quand j'ai bossé toute la journée
Il ne me reste plus pour rêver
Qu'les fleurs horribles de ma chambre
Mes illusions donnent sur la cour
J'ai mis une croix sur mes amours

Mais nom de Dieu dans mon âme
Brûlait pourtant cette flamme
Où s'éclairaient mes amours
Et mes brèves fiançailles
Où s'consumaient mes amours
Comme autant de feux de paille
Aujourd'hui je fais mon chemin solitaire
Toutes mes ambitions se sont fait la paire
J'me suis laissé envahir par les orties
Par les ronces de cette chienne de vie

Mes illusions donnent sur la cour
Mais dans les troquets du faubourg
J'ai des ardoises de rêveries
Et le sens de l'ironie
J'me laisse aller à la tendresse
J'oublie ma chambre au fond d'la cour
Le train de banlieue au petit jour
Et dans les vapeurs de l'alcool
J'vois mes châteaux espagnols
Mes haras et toutes mes duchesses

broyer du noir en musique, c'est déjà mieux que de broyer du noir tout court...
rassurez-vous, tout va bien mes loulous