mercredi 26 octobre 2011

la thérapie du tricot

et s'oublier en comptant les petites mailles...
décidément, quelle laine somptueuse !
futur gilet "danseuse" coeur-croisé

casse tête

Ma douce maman s'est cassée l'épaule
AïÏÏe
Du coup, pour une tricoteuse, cuisinière, jardinière...très active, comment s'occuper dans cette immobilité forcée...
Monsieur LaPoste a apporté un colis contenant des caramels mous (pour le moral des troupes) et un TANGRAM fait maison, un sympathique casse tête que j'avais préalablement fait tester à mes amis.
Et bien a 2, 4, ou 8 mains, c'est pas toujours évident de les reproduire les figures chinoises de lapins, d'ours, de bonshommes, de maisons, de bateau.
Courage ma douce, le plus dur et le plus douloureux est derrière toi, je t'embrasse de tout coeur
TANGRAM et boîte de rangement en papier "impression de Liberty" et carton.

so sweat

Sweat à fermeture éclair et à poches, reversible,
coton rayé du Marché St Pierre
Modèle fait maison inspiré d'un sweat coupe "perfecto" (c'est-a-dire court et cintré) de chez Américan Vintage for boy.
JE SUIS FIER DU MONTAGE DIAGONAL ET DE MES DEUX POCHES INVISIBLES
(invisibles certes ! mais moi je SAIS qu'elles sont là !
(ne vous emballez pas , j'ai fait cette chose il y a plusieurs semaines, je recycle...)

les heures sombres

mon cher petit jardin, mes chers amis-du-jardin, la vie joue de drôle de tours, et après de merveilleux, d'inestimables moments de soleil,
le temps s'est soudainement bien assombri, et de violentes bourrasques font d'effroyables dégâts et balayent tout sur leurs passages.
Je vais essayer de continuer comme je peux à rester debout, à créer et à avoir le grand plaisir de partager les résultats boiteux de mes bidouillages avec vous.

je vous aime et je souhaite qu'un soleil merveilleux vous réchauffe durablement,
si c'est le cas, comme vous êtes heureux !
la vie peut être si belle si elle s'en donne un peu la peine.
en photo, la première clémentine de la saison, d'habitude il faut s'accrocher, mais la non, un vrai régale dès la 1ère, j'en ai tellement mangé dans ma vie que ma soeur disait de moi quand j'étais petite que je "puais la Clémentine"